[ Manoir Yuurei ]

[ D'où vient le manoir des Myuuzu, appellé Manoir Yuurei ? Quelle place occupe t'il dans l'histoire de famille ? Aucune idée. Quoi qu'il en soit, cette famille recu en héritage un manoir semblant immense, que personne dans la famille ne voulait habiter. Il était situé tout au Est de la ville, dans le quartier résidenciel, mais légerement en retrait, et son accès était rendu difficile par la Nature elle même, comme si elle souhaitait que l'on y interdise l'entrée.

[ Là ou la nature n'existait plus, ou l'on avait effacé le vert de cette ville, une femme s'acharnait encore à préserver l'existence de la Nature. Yuurei. Tel était son nom. Ou tout du moins, tel était le nom que les habitants lui avaient donnés. Elle ne sortait jamais de sa propriété, qui s'étendait sur de multpiles hectares. Elle avait implanté son manoir à quelques centaines de mètres de l'orée d'un bois, mais... à l'interieur du bois même. Vous allez comprendre... Si vous parcourez l'espace résidenciel dans le but de découvrir l'extrème Est de la ville, il se peut que vous vous heurtiez à un mur, qui s'étend de part et autre, presque infini. Un haut mur, de bien trois, quatre mètres de haut, dépassés par de immenses abres dont vous ne voyez que le haut, prêt à toucher le ciel. Les parcelles de verdure étant apparement assez rare, vous avez donc de quoi être étonnés de voir des arbres à pertes de vue. Si vous longez le mur, il se peut que vous tombiez sur une grande grille de la hauteur du mur, en fer forge, mais plus resistant que le temps lui même. Cette grille est ouverte durant deux tranches d'heures pendant une journée. Elle l'est de vingt-deux heures à quatre heures du matin, et de midi pile à midi et quatre minutes. Si vous n'arrivez pas durant ce temps là, il vous faudra croiser la maîtresse de l'endroit pour pouvoir entrer...

[ Mettons, vous êtes dans les horaires d'ouvertures. Vous entrez donc dans la foret, sur un petit sentier pavé à la manière des anciennes routes romaines, petit chemin bombé avec deux rigoles pavées elles aussi de chaque cotés, dans le but de recueillir l'eau de pluie, et de l'évacuer. Marchez, marchez, mais ne vous enfoncez pas dans la foret, restez sur le chemin... Le jour, la lumière est aténuée et rendue verte par les feuillages des hauts arbres. Vous vous rendez vite compte que plus vous vous eloignez de la grille, plus vous vous enfoncez dans un monde différent, plus vous vous enfermez, cerclé par les arbres assassins. La nuit, vous pouvez voir leurs branches menacantes. Le jour, la chaleur est étouffante, pourtant altérée par une douce brise glaciale venue d'on ne sait-où. Quelques centaines de mètres plus loin, un grand parc vous fait face, immense, clairière gradiose, en haut du quel les arbres n'osent plus faire de l'ombre. Au centre de cette clairière, quoiqu'un peu en avant surement, se trouve un manoir aux pierres grises devenues noires à cause du temps. Nulle touche de couleur, que ce soit dans ces fleurs noires l'entourant, dans les volets, ou autre. La maison est juste une peinture en noir et blanc, et... Bleu glacé. Depuis peu. Depuis que Yukizora a prit possession de la maison, un peu de touche bleu glacée dans les fleurs notament agrémentent le paysage. Si vous comptez bien, vous verrez deux étages, et le rez-de-chaussez... Et surement un grenier. Mais il est temps de vous aventurer dans cet endroit...

[ Entrez, l'escalier est large sans l'être trop, en peirres, un escalier tout naturel, mais si bien fait... La rampe n'est que l'une des fines branches d'un arbre qui est à coté du manoir, puisque ce dernier à été construit sur lui, immense chène agé d'au moins quatre siècles, et pas prêt de mourir. Entrez dans ce hall, qui vous accueille, sombre et somptueux à la fois. Tout le Rez-de-Chaussez est fait de marbre... Ou presque. (Parce qu'il s'est effacé deux fois de suite, je referait plus tard (pour la ènième fois) la description de l'escalier. Résumé : Il s'ouvre, large, puis se rétrécit, avant de se séparer en deux pour laisser place à une grande arche en bois scultée de Pestacles de chasses, de sacrifices lors de fêtes,... Arche voilé de multiples fins rideaux blancs vous cachant la vue. C'est l'antichambre d'une pièce bien insonorisée. Les deux branches de l'escalier se rejoignent derrière. Rampe en acajou polie ave soin, naturelle et délicate, rendant la montée ou la descente tellement naturelle qu'on ne s'en est même pas appercu. Tapis rouge. Rouge sang, rouge arogant. En bas, deux grandes portes imposantes mais finement dessinées. à Droite : Salle à manger (nombreux convives) Cuisine. A gauche : Appartement des invités de marques. )

Continuons notre chemin, et montons à l'étage... Ici, on peut enfin s'appercevoir qu'on a une complete ouverture sur le Hall, pusique rien n'a été construit au dessus. Un couloir de bien deux mètres de large en fait le tour, passant à l'extérieur avant de la maison par une terrasse sympatique. Celui-ci est parqué d'un bois foncé, mais inconnu, brillant et sec. De multiples portes s'ouvrent, sans que l'on en connaissent vraiment la destination. Au dessus de la chambre des invités de marque, débordant un peu à l'arrière au dessus de la salle inconnue, se trouvent les quartiers des serviteurs, du personnel du Manoir, bien qu'aujourd'hui, il n'y ai plus beaucoup de monde. D'ailleurs, les quelques rares serviteurs qui doivent être au nombre de cinq, six, ne doivent pas se plaindre... Ils ont tout l'espace que prendrait une trentaine de personnes. Ils sont donc plutôt bien logés. Tout le reste de l'étage est un endroit dont seule la Maitresse de Maison à les clés. Personne ne sait ce qui s'y trouvent, et rare sont ceux qui aimeraient vraiment savoir.

De part et d'autres du couloir autour du Hall, deux esclaiers s'enroulent l'un sur l'autre, comme suspendus dans les airs, s'ovurant sur un second étage qui lui, en revanche, constitue le toit du Hall. On arrive alors dans une pièce assez grande, un petit salon à la moquette bleu grisée, bleu très clair, aux murs de la même couleur, et au mobilier dernier cri, constratant avec l'éterieur du manoir. Quelques portes. L'une, on le sait tout de suite, mène à la chambre blanhe de la jeune femme. Un endroit dans lequel personne n'a jamais mis les pieds, sans aucun doute... On sait juste qu'lele est très grande, et qu'une salle de bain y est jointe. Une autre porte mène sur une grande bibliothèque, prenant l'espace restant, remplie de livres de tous âges, mais également d'un piano très vieux, mais très bien conservé, chose étrange. On y trouve également un bureau, un ordinateur,... Et tout ce qui pourrait lui être utile dans ce domaine.

Je juge inutile de ou décrire les sous-sols, car il y en a beaucoup, et constituent un véritable labyrinthe, d'autant plus qu'ils s'étendent sur toute la foret. Je ne vous décrit pas l'arrière. Cela ne vous serirait à rien... Peut être un jour, si quelqu'un ose s'aventurer dans un tel endroit... Auquel cas savoir ce qui l'attends est primordial. Il est peut êtr eimportant de préciser quelques points. Cette Yuurei mouru un jour, dans la foret, et son corps ne fut jamais retrouvé. On suppose qu'lele fut emportée par les loups. Personne n'osa plus entrer dans la maison, pusique tout le monde était certain qu'elle y venait encore la nuit... Et ils n'avaient pas tout à fait tords. La Nature, habitant les Loups de la foret, prit possession de la maison, et empêcherent toute intrusion. La foret se fit dense, bloquant le passage. Il aurait fallu en dédraciner certains, mais eprsonne n'avait vraiment l'envie de le faire... Et puis les Myuuzu héritèrent de la maison. Des muses, seul le Trio sembla interessé. Pourtant, le manoir devait revenir à la Muse de l'Astronomie, selon le testament de la vielle fantôme, écrit il y avait un siècle de cela. Personne ne sait vraiment comme elle sut qu'un jour naîtrait neuf jeunes filles, nommées les Muses, mais personne n'ose s'approcher du mystère. Yukizora fut tentée d'abandonner l'endroit au Trio, ces soeurs qui comptait en faire un lieu particulier, mais après l'avoir visité, elle s'y sentit chez elle. L'architecture, les nombreuses pièces, les multiples secrets qu'elle y découvrit, elle sentit qu'elle étiat à jamais enchaînée à cet endroit, et que jamais elle ne pourrait s'en défaire, pour toutes les choses qu'elle y avait découvert...