Aethel Willems

RPG

Nom : Willems
Prenom : Aethel
Age : 20 ans
Métier : A voir... J'en ai fait tellement... A passer par manequin principalement, j'ai également fait actrice, et employée dans un casino... A voir un peu plus tard ?
QG auquel vous appartenez : T.I.
Armes : Elle n'est que très rarement attaquée, mais porte sur elle un poignard, et quelques tubes d'acide acétique.
Argent : Elle se repose sur son début de fortune, et celle de ses parents, donc disons... 40 000 š. Je ne connais pas la limite du raisonnable x
Description psycologique : En désordre...
Essayez donc de me réduire à moins que rien, et je vous écraserais sans aucune pitié… Je suis d’un naturel calme, et qui ne panique pas facilement. Je sais me défendre, et j’ai confiance en moi. Me battre ne me fais pas peur, et tuer non plus, puisque je sais me servir d’une arme. Ce n’est pas forcément volontiers que j’agit ainsi, mais lorsque j’ai véritablement une bonne raison.
Je dois avouer que je ne connais que très rarement les larmes, mais surtout la haine qui déborde souvent de mon cœur pour tout ce que j’ai dû supporter, notamment des hommes, gens dont je me méfie, frappés par le péchés et la stupidités, qui est à mon goût le pire des défauts.
J’admet aussi que je déteste être faible, aussi vous ne me verrez jamais me fatiguer pour rien, je n’ai que trop étudié ces situations là. Je ne veux pas être dépendante des autres, ni être vulnérable à leurs yeux. J’accepte qu’on me protège, et non que l’on m’étouffe, tant que l’on sait faire la part des choses. Malgré mes airs fragiles, je tient à être libre, et faire ce que je veux où je veux, et personne n’est assez stupide pour essayer de m’en empêcher…
Arogante, la franchise est l'une de mes qualités. Tourner autour du pot n'est pas une expression que je connais, et bien que je puisse aisément me montrer subtile, je dit toujours tout en face, d'une façon ou d'une autre, à un moment ou à un autre.
Description physique : Je ne voudrais surtout pas me vanter, mais j’ai tant longtemps renié ma beauté, qu’a présent je ne peux m’empêcher de l’affirmer… Mes cheveux sont bruns, raides, et cascadent jusqu'à mon bassin lorsque je les laisse détachés, ce qui n’est pas rare. Mes yeux sont hazes et sont bien trop souvent traîtres de mes émotions, dommage, je suis pourtant bonne comédienne… Mon corps est fin, mais bien fait, avec des formes à qui ont peu faire confiance… Chance ou malchance ?? Je le sais, on me l’a maintes fois dit, je suis bien dessiner, et on n’a que trop peu de choses à me reprocher…
Mes tenues vestimentaires sont très vastes, pouvant passer du provoquant au classique, de toutes façons, j’estime que tout me va… Surtout les couleurs vives. (Je developperais plus tard... Un autre jour, qui sait ^^)
Histoire : Je me nomme Aethel, et je suis née à Oxford, un an après deux faux jumeaux prénommés Aziliz et Andrew. Etonnant, dix mois après naquît un autre enfant, mon jeune frère, Allan. En seulement deux ans, mes parents eurent quatre enfants, et autant dire que cela leur suffit. Ma vie ne fut pas toujours rose, mais jamais seule lorsqu’il l’aurait fallu pour que je ne sois plus là en ces jours pour tout vous conter. En ce jour, je m’aperçois comme il est dur de vivre dans un monde où le fric et les histoires de cul sont maître…

C’est donc le quatorze février que, pour la première fois j’ouvris les yeux sur un monde qui me paraissait étranger et trop… Différent de ce à quoi je m’attendais. Petit enfant si légère dans les bras de cet homme en blanc qui me souriait comme si j’étais une trisomique, et devant cette femme aux yeux fermés par la fatigue, rire aux lèvres par la joie de m’avoir sans lui pleurer dans les oreilles. On avait mis cinq six heures à me tirer du lieu que je ne voulais pas quitter, lieu où j’avais passé neuf mois à attendre de voir ceux qui seraient mes parents.

Quelques jours après, je vins pour la première fois dans ce petit châtelet dans lequel habitait ma famille, là ou Aziliz et Andrew m’attendaient, deux enfants d’un an tout juste depuis Janvier, qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eaux, avec leurs servantes attitrées. Un rêve semblait s’ouvrir à moi… Mon enfance fut des plus correcte, je dois bien l’avouer. Ma mère semblait assez malade durant ma première année, mais on découvrit bien vite qu’elle attendait un autre gamin. Je ne veux pas dire, mais quand on y repense, on se demande bien comment ils fesaient… Ils devaient aimer ca. Mais ce ne sont pas mes affaires. Aziliz grandissait peu à peu, et sa beauté s’affirmait. Je l’enviait par son intelligence, sa force de caractère et sa beauté, sans voir que moi aussi, j’avais hérité de ces atouts, et bien plus qu'elle. Allan, mon petit frère, commençait déjà, gamin, à faire des conneries irréparables, malgré notre éducation stricte et ferme, mais parfaite. Andrew décida alors de le prendre en charge, grâce à sa maturité, et Aziliz fit de même avec moi. C’était un peu eux qui marchaient sur un chemin dangereux devant nous, tandis qu’Allan et moi marchions dans leurs pas, là ou ils n’étaient pas tombés. Nous étions une fratrie soudée et sans cesse aimée de toute part. Nous nous entendions à merveille, quoiqu’il puisse parfois y avoir quelques étincelles entre mes frères, entre un charmeur irréprochable, et un rebelle têtu. Aziliz et moi étions pourtant de plus en plus proche.

Vint mon anniversaire de dix ans. Un palier d’atteint me disait Andrew en riant. Oui, je venait de passer dix ans de ma vie à jouer la jeune fille gentille, petite princesse gatée et bien éduquée, docile et pleine de vie. Pour moi, ma grande sœur était mon modèle, elle qui avait tâté la vie avant moi, voyant les erreurs. J’était certaine que lorsque j’aurait son âge, je ne parviendrais jamais à atteindre son intelligence… Loupé. Depuis quelques années, elle ne cessait de me répéter que j’était jolie, et qu’une fois adolescente, j’en ferais tomber plus d’un. Elle me faisait rire à l’époque… J’aurais dû faire plus attention je crois… Mine de rien, peu à peu, la petite enfant réservée et timide que j’était commençait, à l’entrée de l’adolescence, à prendre conscience de ce que je valais, et de mes qualités que je n'avait jamais autant affirmés auparavant. Ma confiance en moi grandissait petit à petit jusqu'à déborder d’orgueil et de puissance. Si, il m’arrivait de douter de moi, de me sous estimer, mais la plupart du temps je me savais à ma juste valeur, et je savais de plus en plus faire ma maligne. Malgré moi, Aziliz était toujours à me surveiller, bien qu’elle me lâche de plus en plus. Ne pas m’étouffer était la seule chose qu’elle voulait. Il fallait que je sois capable de m’envoler seule, sans aide.

Alors, ma mère commenca à me lier à ses affaires. Elle était styliste, et me fit entrer dans son monde. Je commencait par tourner des publicité, par poser pour des fringues de gamins, et le pire, c'était que j'était payée. Ma mère réoltait tout, et en bonne mère, envoyait tout cela dans un compte que je pourrais ouvrir un peu plus tard. Mon père, quand à lui, préféra m'emmener dans le casino qu'il dirigeait, afin d'aider les employées. Il n'avait pas envie d'embaucher d'autres personnes, et avait besoin d'un petit rôle de plus.

Mêlée à la société, le collège, et tous ces élèves stupides, je vit le monde différemment. Des salopards, c’étaient, ces gens. Plus d’une fois je les cherchaient, ces mecs mal élevés, qui me regardaient bizarrement, me faisant des signes provoquant. Quant à ceux qui allaient plus loin, je ne pouvais pas m’empêcher de leur répondre… Plus d’une fois aussi, ça allait trop loin, et je regrettait, tandis que je me faisais coincer dans un coin d’une rue. Aziliz me l’avait toujours dit : N’utilise jamais tes armes, ma belle, tu pourrais t’en repentir. Mais de même qu’elle m’avais toujours prévenu sur ces mecs stupides avides de culs, je ne l’ai jamais écouté, et je suis battue contre eux. Evidement, au début, c’était amusant, ils se pliaient à ma volonté, j’était tranquille. Mais lorsque les autres ne me voyaient pas domptée et soumise comme les autres filles du bahut, ils s’étaient tous mis à parler de moi, ces idiots. Ils ont fini à savoir ce que je faisait à ceux qui s’attaquaient à moi, puisqu’un abrutit m’avait balancé. Un groupe d’une dizaine de personnes m’avaient alors pris en chasse un soir, alors que je voulais rentrer, et aller à la gare. Je n’avais pas peur, malgré le fait qu’ils soient au courant de ma facilité à manier couteaux, revolvers, etc..., j’était juste surprise qu’ils soient assez stupides pour me poursuivre. Lorsqu’ils me chopèrent, m’obligeant à aller dans une ruelle sombre, comme dans les films, je les provoquaient un peu, leur enjoignant de me laisser partir. Seulement ces provocations ne faisaient que grandir leurs envies, et dès que l’un d’entre eux fit mine de me toucher, tandis qu’un autre me décrivait ce qu’ils allaient faire, je me contentait de sortir mon arme, et de tirer à bout portant… Le seul problème est que l’un d’entre eux me projeta contre un mur, et qu'ils étaient un peu plus à me maintenir. Je venais d’apprendre que je n'avait jamais jugé les autres à leur vrai valeurs, et que je m'était bien trop surestimée… Ils avaient commencé à me toucher de manière dégelasse lorsque le premier mourus devant moi, le crâne transpercé par un coutelas en forme de dragon… Qui me rappelait quelque chose… Les uns après les autres, bien qu’ils cherchent la provenance de ce mal, ils moururent tous devant moi, comme touchés par la même maladie. Je ne savais pas autant qu’eux ce qui se passait, mais quelque chose me soufflait que je n’était pas en danger, sans quoi je serais déjà morte… Lorsqu’une silhouette noire tomba des toits, je compris. Les longs cheveux argentés reflétant la lune qui désormais était visible, ses yeux dépareillés, rouge et blanc braqués sur moi, je n’avais jamais vu ma sœur aussi furax (Capitain flaaaaaaaaaaaaam tu n'es passsss... Hum, désolée, c'est sortit tout seul XDDD). Son seul regard suffit à me faire regretter amèrement, tandis qu’elle me soufflait de ne pas jouer avec le feu, qui était son élément, et non le mien. Je crains qu’elle ne m’ai sauvé plus d’une fois, comme Andrew l’eu fait avec Allan. Elle m’apprit à me servir de mes charmes à la perfection, les adopter, les apprivoiser et les maîtriser, afin de n’avoir aucun problème par la suite. Elle ne voulait pas que je continue à être soumise et aveuglée par ma facilité à manier des armes à feu, ou même blanches...

Puis j'entamait mes 18, 19 ans. Je continuait cependant à mener une double vie : avancer dans le milieu de la mode, tandis que mon père finissait de m'initier à reprendre son casino. Désormais, la demoiselle se baladant notament en Gucci, Chanel, et de multpiles autres marques, et ne manquait pas de se faire remarquer. Seule différence : Les gens me regardaient avec un peu plus de respct qu'autrefois. Je me mis à poser pour des magasines, refusant ceux osés au point de ne plus rien porter, jouer dans des cours métrages, et continuait à défiler pour des marques de modes. Je fini donc par me faire un nom en Angleterre, puis en Europe, avant de voguer vers les States, comme les appellaient les gens. J'y restait un an. Un an de paillettes, de champagne, de soirées délirantes, de journées étouffantes, avant que ma mère ne me rappele à elle.

Elle décida de m'envoyer au Japon, précisément ici, sachant que je saurait m'y placer de manière convenable. Ce pays là l'interessait, aussi voulait-t'elle y envoyer sa fille, représentante surement. Let's go...

Hors RPG

Comment avez vous connu ce forum ? I'm Jenny, the sister of Yukizora
Pouvez vous venir souvent sur le forum ? Euh... Tout dépend de mon humeur, de mon imagination, de mon temps libre, de mes affinités, et de Bryan... Sinon je suppose que wi
Avez vous l'habitude des forums RPG ? Je suppose que wi... Après, ca dépend qu'est-ce que ous appellez "l'habitude'.
Quelques infos sur vous : ... Non ^^'

Bienvenue parmi nous, au fait, si tu cherche un job, j'aurai besoin d'aide au Bar du Clair Obscur, si cela t'intéresse ^^

welcome!!!
Ta fiche est parfaite je valideuh et bon rp!