[ Yukizora Myuuzu ]

[ FICHE TERMINEE ]

[ Nom ] | [ Myuzzu ]
[ Prénom ] | [ Yukizora | Il signifie Ciel de Neige en Japonais ]
[ Âge ] | [ 21 ans | Et c'est largement suffisant | Et en plus, rare sont ceux qui la croivent si jeune ]

[ Métier ] | [ Tueuse à Gage ]
[ QG ] | [ Mersanh ]
[ Armes ] | [ Un gun | Discret et utile ] [ L'aiguille glissée dans ses cheveux sera parfaite ] [ Goumongu | Cf. Histoire ]




[ Psychologie ] | [ Il est difficile de décrire le caractère de Yukizora, qui est si simple et pourtant si complexe... En premier lieu, l'adjectif qui lui correspond le mieux est sans aucun doute : Impassible. Elle ne change pas de comportement parce que l'on égorge quelqu'un, qu'un couple s'embrasse avec passion, voire autre situations. Elle reste la même quoi qu'il arrive, apparement. Son visage ne connait aucun sentiment, robot intelligent, aux multiples pensées, elle semble dotée d'une âme vide... Seul, quelques petits détails, semblent la faire réagir. Quels sont-ils, ces détails ? Excellente question à laquelle personne ne peut vraiment répondre. Parfois, elle a un déclic, et agit completement différement de son impassibilité habituelle. Et oui, il lui arrive d'être humaine.

[ Beaucoup pensent qu'elle ne possède pas de coeur, et que c'est bien la seule de sa famille, malgré les caractères de certaines de ses soeurs. Personne ne peut dire non plus si c'est la pire de la fraterie, ou non. Disons qu'elle a une psychologie bien à elle... il lui arrive de se balader dans la rue, et sans prévenir, parce qu'elle croise quelqu'un dont la tête ne lui revient pas, elle sort son aiguille et l'enfonce dans le cou de la personne concernée, au passage, aussi facilement et rapidement que lorsqu'on prend un paquet de chips au supermarché. Un regard lui suffit pour vous clouer au sol, un geste lui suffit pour prendre votre vie. Un mot suffit à vous faire tomber. Un rire lui suffit pour vous annoncer ce qui vous attend. Elle a la personnalité d'une femme qui déteste qu'on soit au dessus d'elle, ou que l'on tente de la dépasser. Si toutefois vous vous tentez à cela, elle se contentera d'un soupir, puis de vous trancher la gorge... Simplement... Dans une danse mortelle. Ou alors, au choix, de vous torturer jusqu'a ce qu'elle vous lance vivant dans un cercueil rempli de blatte, le fermer, et l'enterrer... Juste ca. Notons cependant qu'elle aime les choses bien faites et rapidement expédiées. Elle ne prendra pas trente ans avant de tuer. Elle laisse le plaisir de la souffrance à trois de ses soeurs, et préfere celui de l'ultime, et le seul éclat de peur qui brille avant que ne s'éteigne la dernière lueur de vie de ses victimes.

[ Notons par conséquent que la demoiselle a un sadisme tout particulier. Si elle reste impassible et sans sentiments, ou presque, elle prends plaisir à voir les gens souffrir, à voir le sang couler, voire même à opérer des gens vivants... Mais je vous l'ai dit, ce n'est pas trop trop souvent, sinon, ca perd de son sens. Il lui arrive donc fréquement d'être sadomazo, ne vous inquietez pas, tout va bien... Ou pas. ]


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[ Apparence ] | [ Si un mot devait être choisit pour représenter le physique de Yukizora, le vote serait sans aucun doute unanime sur le mot "Particulier". En effet, il n'est pas très commun... Il s'approche plus de celui d'une statue, immortalisée dans la pierre pour sa beauté, qu'a autre chose... Pierre... Non, devrais-je dire cristal. Une magnifique statue de cristal vous fait face. Mais décrivons Yuki dans les règles de l'Art :

[ La première chose qui frappe chez elle sont ses cheveux. Bleus. Ils sont d'un bleu très pâle, presque blanc, et sont regroupés en de grosses mèches, faites de multiples tresses tressées les unes sur les autres, si serrées et si petites que l'on ne voit que mal le fait que ce ne sont que des tresses. Si toutefois elle se hazardait à les détacher, ils glisseraient sur ses épaules, cascaderaint le long de son dos, caresseraient ses hanches, froleraient ses jambes, et traineraient un bon mètre plus loin derrière elle, puisqu'elle n'est jamais allée chez le coiffeur. Attachés, ils ont l'avantage d'être plus courts, et ils se contenterons d'atteindre le bas de son dos. Ils semblent former des lignes accentuant les contours de son corps, pas désagréable à détailler par ailleurs. Ses yeux, quand à eux, ont eux aussi une couleur très particulière. Ils sont blanc. Pas argentés, pas très légerement colorés, pas teintés, non, blanc. Un blanc pur, vide, un blanc qui fait peur, car inhumain, on a peine à comprendre pourquoi ils sont là. Elle possède un regard qui met à la fois mal à l'aise mais qui sait également fasciner par cette lueur inconnue qui y brille au loin. En les voyant, la seule envie de s'y plonger, de venir s'y perdre, de mourir dans cet infini magnifique vous vient, grandiose et attirante. Regard qui vous traverse, à la fois lance de diamant, et voile de soie, à la fois doux et tranchant, avant que vous ne vous aperceviez qu'il n'est rien de tout cela. Il est vide. Aucune vie n'y brille. Elle est aveugle ? Tout le laisse à penser, et pourtant elle ne l'est pas. Avec ca, elle est sure d'en déstabiliser beaucoup. Jouer les aveugles pour retrouver la vue au dernier moment a l'avantage d'ne surprendre plus d'un... Ensorcelants, dit on parfois... Tout dépend de votre point de vue. Si c'est vous sa victime, alors contentez vous de : Affolant. A votre avis, pourquoi le cache t'elle, parfois, par des bandes de cuir, laissant des trous juste assez large pour voir sans être vue... ?

[ Donc, difficile de faire plus étrange... Deux magnifique yeux appronfondis par de longs et magnifiques cils noirs naturellement recourbés, rendant ce regard à la fois secret et vide de sens, accentuant tout cela, le rendant irrésistible... Ajoutez à cela des lèvres fines, colorée d'un rouge foncé légerement argenté, Touche mignonne contrastant avec le reste... Sur son visage, un tatouage tribal bleu argenté marque sa joue gauche, puis elle en a également un dans le cou, qui descend jusqu'au bas de son ventre, motif compliqué la refletant... Mais quant au reste, autant admettre tout de suite qu'un visage ne fait pas tout, lorsque le corps peut se révéler tout le contraire. Grande, bien plus grande que son âge le laisserait entendre - et pour cause, d'un mètre quatre-vingt, en fait - elle se révèle tout aussi mince sans pour autant perdre de ces formes qui caractérisent si bien les corps de femmes. Son visage peut être froid et impassible, ses formes ne le sont pas forcément... Elle ne doit pas peser bien lourd, et est d'une agilité et d'une souplesse assez surprenante, ainsi que des reflexes bien plus que corrects.

[ Ensuite, décrivons son corps pièce par pièce... Ce robot à plus d'un tour dans son sac, je le crains... A commencer par des pieds souvent placés dans de hautes bottes, silencieuses ou non, ou bien de petites chaussures discrètes, nous pouvons remonter le long d'une cheville gracile et d'un mollet délicat, ce qui ne peut que déjà titiller timidement vos papilles par la soie de sa peau, pour continuer le long d'une cuisse fuselée et de hanches qui ne manquent pas de largeur sans en devenir grosses, suivant naturellement la courbe de ses fesses rebondies et fermes, avant d'arriver à une chute de rein qui a tout du vertige des chutes du niagara et à la cambrure d'un dos parfaitement droit. Et bien que cela seul pourrait déjà vous procurer bien des rêves, sachez que sa beauté ne s'arrête pas que là... En effet, vous pouvez également considérer son ventre plat et sa taille de guèpe ainsi qu'une poitrine généreuse agréablement ronde, à la peau aussi ferme que vos attentes puissent réclamer. A la suite viennent des clavicules pas trop apparentes accompagnées d'épaules petites à la carrure frèle, des bras délicats et semblant fragiles aux mains longues et fines, sans oublier un cou de cygne, et vous aurez enfin parcourut ce corps de rêve pour revenir à ce visage qu'on ne peut si vite oublier, et qui rends une dimension inquiétante à sa personne, pourtant si bien faite... (Non non, mes chevilles n'enflent pas >.<' Envie d'écrire n'importe quoi ? Moi ? Naaaan ^_^). Mais méfiez-vous des apparences, et ne croyez pas que la jeune femme en soit arrivée là dans une splendeur naturelle... Bien sûr que non, elle se contenterait de vous le prouver d'un coup bien placé... Loin de là, donc évidement, car ses muscles n'ont rien de mous, et son corps à été sculpté comme une statue -comparaison déja utilisée pour autre chose- à force d'entrainements physique, que cela soit des multiples sports de combats, aux sports divers, en partant de la gymnastique vers la natation, plus enfin le foot, on enchaîne sur le Kendo, pour glisser vers la danse, pour finir sur l'Athlétisme et j'en passe beaucoup trop... Elle ne cesse de s'entretenir, ayant pour soucis la préservation de ses reflexes et de sa souplesse. Toujours plus vite, toujours plus loin... ]


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[ Comment avez-vous connu le forum ? ] | [ Grace à Lely, si je ne m'abuse ]
[ Pouvez vous venir souvent sur le forum ? ] | [ Tout les weeks-end, et pendant les vacances, ce sera facile, mais puisque je suis interne, la semaine je ferait du mieux que je peux, si le site n'est pas bloqué . En revanche, si le design devient trop hard, je ne pourrait pas. ]
[ Avez-vous l'habitude des forums RPGs ? ] | [ Cela fait un an et demi que j'en fait, parait-il... Je suppose que oui ]

Bienvenue ^o^
Je suis également interne, et idem pour Lely, donc ne t'inquiète pas pour ça. (et je vais éviter de mettre un design trop hard )

[ Famille ]
[ HIGEKI ] | [ KAGEKI ] | [ 20 ans ]
[ KIGEKI ] | [ 19 ans ]
[ AIKA ] | [ 18 ans ]
[ KAKYOKU ] | [ 17 ans ]
[ SHISHU ] | [ 16 ans ]
[ HANASHI ] | [ 15 ans ]
[ SHISHIMAI ] | [ 14 ans ]

[ Histoire ] | [ Je me nomme Yukizora Myuuzu. Mon prénom signifie le Ciel de Neige. Mon nom de famille signifie Muse. Je suis née un 10 Février, premiere enfant d'une nombreuse famille, enfant de parents completement timbrés. Demoiselle aux désirs multiples, je juge ma vie banale, mais beaucouo ne sont pas de mon avis... C'est à eux de voir. En ce qui me concerne, je ne suis jamais contente de ce que je fais, je me contente, mais cherche à m'améliorer. Je n'accepterait donc aucune remarque extérieure, positive ou negative.
Mon histoire n'est pas celle d'une orpheline. Je ne suis pas non plus Superman-sans-défaut. Je suis un être humain... Mais à cause de certaines choses que j'ai fait, certains en doutent encore. Notez que j'ai toujours tentée de me démarquer... En restant dans l'ombre.


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[ L'union de Kimiko (La préférée), et de Rinnenuun (Aucune idée d'où ca sort ) fut d'abord de longues études à l'université d'Oxford, un couple de petits amis qui cassent, se rassemblent, cassent, s'assemblent, et vous voyez le tableau. Tous deux étaient japonais, mais venait d'Hiroshima... Hin hin. Ils étaient donc là bas pour faire des études. La chose qu'ils préféraient était les mythologies diverses et variées. Les muses, ils ne cessaient de les citer. Bref. Leur histoire à eux ne compte pas. Ils sont juste les créateurs d'un monde particulier. Retournés au Japon à l'age de 25 (elle) et 29 ans (lui), elle tomba alors enceinte d'un enfant. Ce fut moi. Ils décidèrent (Stupidement, certe), de m'appeller Yukizora, le ciel enneigé, en l'honneur à la muse de l'astronomie, Uranie. Malgré mon physique très particulier, mes parents m'aimèrent ave passion,e tme comblèrent de toutes sortes de cadeaux dès ma naissance, faisant de moi une enfant -déja !- bien trop aisée, et autoritaire. Déja, le fait que l'on soit supérieur à moi m'insupportait, et l'on ne pouvait obtenir de moi que très peu de choes, tandis que je les commendaient à la baguette. Je n'avait pas encore un an qu'ils étaient tous pliés à ma volonté. Ils reconnaissaient ma supériorité, après tout, nan ??

[ Puis... Ma mère trouva le moyen d'être enceinte. On apprit bien vite que c'étaient des jumelles... Oh, super, des gamines à soumettre !! Elle naquirent en Mai, avec un an de différence avec moi donc... La flemme de tout vous conter, je vais donc abréger. Je m'appercu avec ces jumelles qu'il me serait impossible de faire souffrir ma fraterie tant j'y tenait. Elles aussi étaient victime de la folie de nos parents, et furent surnommées Higeki, "tragédie" et Kageki, "opéra". Nous avions là deux autres muses, auquel vint s'ajouter un an plus tard Kigeki. Elles trois étaient sadique, joyeuse, autant attirante que violentes, montrant leur attrait du sang délibérément, et pour les vices divers... on les appelaient le Trio, tandis que les gens s'interrogeaient : Laquelle était la pire des quatres ? Vint par la suite Aika, "Chants funèbres"... Elle, c'était la Muse de l'élégie et de la poésie érotique. Je vous promet que dès toute petite, elle était déja une braise rougeoyante. L'année suivante, ce fut au tour de la muse de la musique, Kakyoku, "Mélodie". Elle avait toujours un fond de tristesse dans le regard, et ne cessait de gazouiller de petites chansons qu'elle sortait de son imagination. Le trio l'a surnommée Mélancolie. Shishu, la "poésie" suivie, muse de l'éloquence et de la poésie épique. On notera ensuite l'arrivée d'une jeune fille renfermée et qui ne parlait jamais... Hanashi, Muse de l'"histoire". Elle et Kakyoku étaient semblables, tandis que Shishu et Aika avaient quelques points communs également... La dernière fut nommée Shishimai par le Trio : La "danse du lion". C'était la dernière d'entre nous, et j'avais déja 8 ans, alors que la dernière muse, celle de la danse et des chœurs venait de cloturer la ligné.

[ A vrai dire, je n'ai jamais compris comment ma mère avait fait pour lacher neuf gamines en huit ans, comme ca, tranquillement, épuisée à la mort, mais encore en vie, et sans césarienne. mais bon, c'est sa vie, pas la mienne. Moi, de mon coté, je me contentait de me forger un caractère impassible, sans me préoccuper des autres, me contentant de protéger les plus jeunes de mes soeurs, bien que beaucoup avaient un caractère tel qu'elles n'avaient pas besoin d'aide. A l'école, je n'ai jamais été une élève studieuse. Dès que j'y ai mis les pieds, j'ai préféré péter un cable dès l'instant que j'ai su qu'on me donenrait des ordres. Conclusion ? Percepteur qui doit subir tous mes caprices... Et pour éviter les traitements favorables, les autres aussi avaient le droit de l'avoir, et donc de le faire souffrir. On embaucha également une prof qui me servit pour le sport, où j'apprit bien vite qu'elle serait la seule personne auquel ma volonté ne s'imposait pas. Elle n'étiat pas choquée par mon physique, et tentait toujours de me pousser au bout de mes forces, m'apprenant que plus j'était forte, mieux se serait par la suite...

[ Ma vie fut totalement banale. L'histoire simple d'une jeune fille sadique qui fera soufrir les gens qu'elle croise, et qui, à 18 ans, se détachera de sa famille pour aller vivre seule, devenant tueuse à gage, ou assassin. De totues façons, c'est toujours presque pareil... Je ne me contentait pas de tuer, je me confondait avec le silence, repoussant sans cesse mes limites comme on me l'avait apprit, afin de tuer comme la mort prend ses proies, dansant dans la nuit telle une ombre mortelle... Morsure d'argent, souffle de diamant... Ce que je préferait était peut être les chasses. Trois quatre tueurs sur la même personne, récompense au premier qui ramene le cadavre. Je fit alors la connaissance de Lynn, une tueuse aussi expérimentée que moi, voire même plus, puisqu'elle m'apprit beaucoup de choses. Notre amitier se tissa peu à peu, entre la Louve et la Lune. Elle fut le seul adversaire qui fut un jour à ma taille, mais je fini trop rapidement à la dépasser, gagnant neuf un combat sur dix. Malheuresement pour moi, elle m'anconca que dans un an, elle devait partir en Angleterre. Elle choisit donc de l'offrir un cadeau inestimable... : Goumongu. Ce mot là signifie "instrument de torture", et c'est en fait une technologie que je ne parvient pas à comprendre. C'est une grande lame d'un aliage inconnu, d'une souplesse étonnante, et qui, prise sous un certain angle, peut devenir d'une dureté impressionnante. J'ai tenté de le casser, sans succès. Le bruler, le refroidir, tout, j'ai tout essayé, mais rien ne marche. Lynn m'a apprit à m'en servir, cet outil bien compliqué, et j'ai manqué d'y renoncer plus d'une fois... Cependant voila, a bout d'une bonne année, lorsque fut venu son départ, je le maitrisait à la perfection. Glissé contre moi, il était aisé de sortir le serpent glacé, frappant avec un angle parfaitement calculé, blassant, tuant.

[ Son départ fut pour moi une hose regrettable. Mais établie, je revint à ma vie d'avant. J'ai toujours vécu ici, mais j'ai toujours cherché à accepter la réalité qui m'accueillait : Autrefois, cette ville avait été joyeuse. Désormais, elle était monde du vide et du mal, et je compte bien m'y faire un trèès bonne place.

Merci beaucoup !